lundi, août 05, 2013
Libellés :
Photos
dimanche, décembre 25, 2011
Lancement...
Aire d'embarquement, accélération, départ
Compte à rebours des moteurs
Une lancée aux sphères supérieures
Compte à rebours des moteurs
Une lancée aux sphères supérieures
Assez! Bon chic bon genre
Place!
Intensité! Nais de ces cendres
Intensité! Nais de ces cendres
Place!
Attrapes la folie
Salam aleikoum
Bienvenidos
Dés amorcés
Fin du consensus
Bris des processus
Bang!
Largu'âme...
Largu'âme...
Plus de temps, plus d'espace
Plus de notions bêtes
Pourquoi retourner en arrière?
Quai de débarquement
Refusion atomique
Termine ton parcours
Encore besoin de toi
Tu dois nourrir l'amour
Nourrir l'amour.
Petite poésie pour débuter «Loygloblog».................................Excusez-là! Ceci n'est pas un site de poésie. Tout ce qui m'intéresse s'y retrouvera!
Loyglo
Libellés :
Lancement...,
Poesie
samedi, décembre 19, 2009
mercredi, décembre 16, 2009
vendredi, décembre 11, 2009
jeudi, décembre 03, 2009
mercredi, décembre 02, 2009
mardi, décembre 23, 2008
Sexy Beast
Film à voir pour la performance de Ben Kingsley, entre autres - parut en 2000 à Toronto.
Sexy Beast is a 2000 British film directed by Jonathan Glazer, starring Ray Winstone, Ben Kingsley and Ian McShane. It was Glazer's debut feature film. He had previously been a director of music videos, such as Rabbit in Your Headlights for British electronica group UNKLE,[1] and commercials for companies such as Guinness and Levi.
The film earned Kingsley an Oscar nomination for Best Supporting Actor.[2] In 2004 the magazine Total Film named Sexy Beast the 15th greatest British film of all time.[3]
The film is rated 18 by the BBFC for Very Strong Language, Strong Bloody Violence, Strong Sex andSexReferences.
The film is rated 18 by the BBFC for Very Strong Language, Strong Bloody Violence, Strong Sex andSexReferences.
Libellés :
Cinéma
jeudi, décembre 18, 2008
Mes lectures - Mystic river
Ils étaient venus faire l’expérience de l’euphorie, se sentir élevés, Dave le savait, transportés hors de leur existence par le rare spectacle de la victoire. Raison pour laquelle les arènes et les stades de base-ball évoquaient toujours des cathédrales vibrant de lumières, de prières chuchotées et des battements de quarante mille cœurs unis par le même espoir collectif.
Gagnez pour moi, les gars. Gagnez pour mes gosses. Gagnez pour mon mariage, afin que je puisse rapporter votre triomphe dans la voiture avec moi et m’en imprégner avec ma famille pendant qu’on retourne à nos petites vies sans gloire. p. 58-59
Toute sa vie on aspire à ce genre de chose. On a beau à essayer de se persuader du contraire, c’est vrai. On rêve de vivre un drame. Pas celui des factures impayées ou des chamailleries domestiques. Non. Ce drame-là était bien réel, et en même temps, il dépassait la réalité. Il était hyperréaliste. Dave avait peut-être tué un voyou. Auquel cas, la police chercherait le coupable. Et la piste les menait jusqu’ici, jusqu’à Dave, les enquêteurs auraient besoin de preuves. p. 69
On devine parfois la vérité au plus profond de son âme, et nulle part ailleurs. On la devine parfois confusément, au-delà de toute logique, et on a en général raison quand elle est de celles qu’on ne veut pas affronter, qu’on est pas sûr de vouloir affronter. Alors, on tente de l’ignorer, on va consulter un psychiatre ou on passe de longues heures dans les bars à s’abrutir devant les écrans de télévision, tout pour essayer d’échapper à ces vérités trop dures, trop laides, que l’âme a identifiées bien avant l’esprit. p. 123
Dennis Lehane
Gagnez pour moi, les gars. Gagnez pour mes gosses. Gagnez pour mon mariage, afin que je puisse rapporter votre triomphe dans la voiture avec moi et m’en imprégner avec ma famille pendant qu’on retourne à nos petites vies sans gloire. p. 58-59
Toute sa vie on aspire à ce genre de chose. On a beau à essayer de se persuader du contraire, c’est vrai. On rêve de vivre un drame. Pas celui des factures impayées ou des chamailleries domestiques. Non. Ce drame-là était bien réel, et en même temps, il dépassait la réalité. Il était hyperréaliste. Dave avait peut-être tué un voyou. Auquel cas, la police chercherait le coupable. Et la piste les menait jusqu’ici, jusqu’à Dave, les enquêteurs auraient besoin de preuves. p. 69
On devine parfois la vérité au plus profond de son âme, et nulle part ailleurs. On la devine parfois confusément, au-delà de toute logique, et on a en général raison quand elle est de celles qu’on ne veut pas affronter, qu’on est pas sûr de vouloir affronter. Alors, on tente de l’ignorer, on va consulter un psychiatre ou on passe de longues heures dans les bars à s’abrutir devant les écrans de télévision, tout pour essayer d’échapper à ces vérités trop dures, trop laides, que l’âme a identifiées bien avant l’esprit. p. 123
Dennis Lehane
Libellés :
Mes lectures
S'abonner à :
Messages (Atom)